Ce lundi de Pâques à Conakry, la culture du respect et de la reconnaissance a pris des allures de défilé. En marche depuis le pont 8-Novembre jusqu’à l’esplanade du Palais du peuple, des enseignants venus de tous les coins du pays ont réaffirmé, en blanc et en chœur, leur soutien au président Mamadi Doumbouya. Plus qu’une simple manifestation politique, cet élan populaire témoigne d’un attachement profond à une vision : celle d’un président bâtisseur, artisan du renouveau guinéen.
L’éducation, pilier de toute nation moderne, n’a pas été négligée dans cette transition. Bien au contraire. Sous Doumbouya, les écoles renaissent, les enseignants sont écoutés, et les élèves retrouvent le goût de l’avenir. Le monde de l’enseignement, souvent relégué à la marge, se voit désormais au cœur du projet républicain.Ce soutien ne vient pas d’un vide. Il est le fruit de décisions tangibles, de réformes visibles, d’un cap assumé. Le Premier ministre l’a rappelé : la volonté du président est de tourner la page des errements passés. Et il le fait, pas à pas, projet après projet, pierre après pierre.
Dans un monde où les coups de projecteurs sont souvent braqués sur les crises, la Guinée offre aujourd’hui l’image d’une marche vers l’espoir. Et cette marche, les enseignants l’ont ouverte avec dignité, foi et conviction. Mamadi Doumbouya n’est pas simplement un homme de transition. Il incarne une transition vers la confiance retrouvée.
Par Racine Dieng
