Dans un élan de démocratie exemplaire, la Guinée semble avoir trouvé la recette miracle pour faire taire toute voix discordante avant même que la campagne pour le référendum ne commence. Et pour cause ?
La récente suspension de trois partis politiques, suivie d’une précédente suspension de 28 autres, illustre à merveille la volonté de certains dirigeants de verrouiller l’espace civique, comme on ferme un robinet de liberté.
La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, dans sa grande sagesse, s’indigne et rappelle que la liberté d’expression et de réunion sont des piliers de toute démocratie qui se respecte.
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