Le destin prolonge le jeu politique, la transition se dilue dans l’incertitude. À l’approche du référendum constitutionnel de septembre 2025, la Guinée se débat dans un bazar total, digne d’une danse des sorcières. Ce qui rend le rêve d’un retour à un pouvoir civil légitime aussi insaisissable qu’un mirage.
Pendant ce temps, le règne militaire sur l’État de droit persiste, défie le bon sens, et méprise la démocratie. Que ce soit par des uniformes ou des costumes civils, les ennemis de la démocratie semblent ignorer cette question cruciale, comme si le temps était de leur côté.
Alors qu’une majorité de citoyens réalise qu’il est urgent de raviver la flamme du pouvoir des urnes et de défendre les droits humains en Guinée, cette nécessité se heurte à une résistance obstinée de la minorité pro-putschiste, persuadée qu’elle peut continuer à ignorer la volonté du peuple, qui aspire à une gouvernance dont les acteurs sont élus de la base au sommet de l’État.
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