Son témoignage est évident. Et il n’est pas le seul à y croire. Mais à la différence des autres, Diallo Narès le dit et l’assume par l’écrit sur son mur Facebook. Parce qu’il est comme ces guinéens et amis de la Guinée rassurés qu’une personnalité authentique comme Cellou Dalein Diallo, dotée d’un charisme naturel hors du commun et d’une bonne humeur à toute épreuve, est l’homme qu’il faut pour conduire les destinées de la Guinée après la transition militaire en cours.
Comme l’écrivait en 2010, le magazine francophone Jeune Afrique, une fois élu président de la République, Cellou Dalein Diallo sera « immédiatement opérationnel » pour avoir acquis l’expérience dans la gestion des affaires publiques au plus haut niveau de l’Etat. Ce qui n’est pas le cas pour ses anciens et éventuels concurrents de l’élection présidentielle prochaine.
En attendant, le chemin du palais présidentiel étant à faire avec une équipe, « à l’opposé de ceux qui prônent (…) l’extinction progressive des partis politiques, l’absorption ou la fusion des autres partis politiques dans les leurs, Cellou Dalein Diallo propose la cohabitation, la coopération, la collaboration et la coalition des partis politiques avec une opportunité de l’agrandissement de chacun », commente Diallo Narès sur sa page Facebook.
La preuve, écrit-il, «présidant une réunion de l’Alliance nationale pour l’alternance et la démocratie (ANAD), le président Cellou Dalein Diallo disait : « je souhaite que chaque parti politique continue de dynamiser ses structures de base. Quand les partis politiques seront forts, notre alliance sera puissante».
Cet esprit d’équipe fait dire à Narès que le principal leader politique guinéen est «un grand rassembleur et un véritable leader qui prône toujours la performance de ses collaborateurs ».
« Ce n’est pas pour rien qu’il avait été élu dès le premier tour des présidentielles du 18 octobre 2020 avec 53,84% des suffrages valablement exprimés », souligne-t-il en guise de rappel de cette bataille électorale dans laquelle Cellou Dalein Diallo s’est fait l’invité surprise au grand étonnement de tous. D’ailleurs, selon un acteur du 3e mandat, « le professeur Alpha Condé avait juré que Cellou ne se présenterait pas candidat ».
Cette expérience du ring électoral dont il s’est révélé, fort de son courage, de sa combativité et de son inexorable enthousiasme, être l’un des grands hommes politiques de notre pays montre que la cérémonie de son installation en tant que président élu au palais présidentiel « Sékhoutouréya n’est qu’une question de temps ».
Comme beaucoup de Guinéens et d’observateurs de la marche des pays de l’Afrique de l’ouest vers la destinée démocratique, Diallo Narès croit fermement que ce temps n’est plus loin pour que tous les habitants de ce beau et riche pays réalisent qu’ils peuvent se donner la main, et se construire une vie démocratique sur des piliers solides du vivre-ensemble.
Par Diallo Alpha