Le principal leader politique guinéen, qui observe la junte militaire au pouvoir depuis six mois, semble n’attendre plus que la moindre occasion pour contre-attaquer. Il avoue que son soutien à la junte n’a pas abouti à l’ouverture d’un dialogue sur le chronogramme de la transition conformément à l’article 77 de la Charte de la transition. Son souhait d’avoir un médiateur pour aplanir les divergences et éviter des conflits dans le pays, n’a pas non plus été accepté par la junte.
Par Le Populaire