Retour fracassant à Nouméa. L’expert comptable incriminé à tort apporte son démenti devant les tribunaux. Cet article fait suite à un précédent article paru en fin d’année dernière dans le LNC, rédigé sans aucune vérification à charge contre Justin ETTY.
Cet article affirmait que Justin ETTY était en fuite avec des millions de ses clients et qu’un mandat d’arrêt national avait été lancé contre lui pour donner suite à une condamnation à deux ans de prison ferme, alors que Justin ETTY n’était absolument pas en fuite.
Après la fermeture de son cabinet à Nouméa et après son divorce (séparation), il refait sa vie.
A l’île de la Réunion, d’où il est venu s’installer de la Nouvelle Calédonie. Il y a une partie de ses activités immobilières patrimoniales.
Selon monsieur Justin ETTY, cet article a été rédigé à la suite d’informations calomnieuses communiquées par l’ex épouse de monsieur Justin ETTY, avec laquelle il est engagé dans une longue procédure de divorce et qui fait mains et pieds, assistée de son expert-comptable, pour détruire la réputation de monsieur Justin ETTY, espérant avoir ainsi gain de cause auprès de des tribunaux, dans leur dossier de divorce.
A la demande et à l’instigation de Marc F. Expert-comptable, et surtout conseil de Alexandra P, l’ex épouse de Justin ETTY, ce dernier a subi toutes sortes de tracasseries judiciaires avec des enquêtes CAFAT (sécurité sociale), classée sans suite ; du H3C (entité de régulation de la profession des commissaires aux comptes en France), pour de soi-disant manques à des règles de la profession mais classée sans suite ; de TRACFIN (ou Marc F. a entamé des démarches pour accuser Justin ETTY de blanchiment, soldé par un non lieu également ; et des services fiscaux, sur ses sociétés.
Sur toutes les sociétés, ces contrôles sur dénonciation calomnieuse ont été classés sans suite, sauf sur une société où on lui réclame 50 millions (500 000 euros) car il aurait transféré sans justificatif des sommes à l’étranger (dépenses injustifiées). Il a produit tous les justificatifs aux services fiscaux. Mais selon lui, les contrôleurs agissant sur dénonciation, et persuadé du caractère injustifié de la dépense, vont jusqu’à lui demander de prouver que son prestataire à l’étranger a bien reçu les sommes payées par lui, ce qui est indémontrable par lui.
Il a démontré qu’il a payé son prestataire, mais il ne peut pas démontrer que son prestataire a reçu de l’argent car n’ayant pas accès à la banque de ce dernier. Ce litige est cependant en procédure contentieuse devant les tribunaux administratifs.
Aussi, dans cet article, il était fait mention de véhicules de luxe avec lesquels il roulait ou s’achetait, ainsi que de biens immobiliers. Il affirme, en effet, avoir eu des véhicules de luxe et des biens immobiliers de valeur, qu’il a tous acheté en faisant, soit du leasing, soit des emprunts bancaires et qu’il a tous soldé.
Personne n’a été lésé pour l’acquisition de ces biens, comme le laissait entendre l’article précédent. C’est uniquement le fruit de son travail acharné. Ces biens ont d’ailleurs été contrôlés dans le cadre des multiples contrôles fiscaux dont il a fait l’objet.
C’est dans ce contexte et sans la moindre vérification, en écrivant juste à la suite d’informations, toutes fausses rapportées par des personnes animées d’un esprit revanchard, pour donner suite à tous les non-lieux collectés, accusations qui toutes prennent leur origine dans un rapport de divorce, abreuvé par une source donnant des informations erronées, communiquées par une épouse, voulant faire la peau à son ex-mari et aussi après plusieurs attaques sur le plan judiciaire. On se retrouve malgré tout face à une série de non-lieux et d’échecs judiciaires, mais déterminées à nuire, ces mêmes personnes veulent transformer des faits montés de toute pièce, en vérité. Ils le mettent dans la presse espérant ainsi en faire une vérité.
De plus, elles utilisent insidieusement l’outil judiciaire et la position d’expert-judiciaire du conseil de l’épouse, qui dans cette affaire n’intervient pas comme expert judiciaire assermenté, mais comme conseil de l’épouse, utilisant sa proximité avec le monde judiciaire pour faire condamner à tort, Justin ETTY, le mari déjà lésé que son ex enfants.
Après de nombreuses enquêtes et auditions, avec des témoins avec qui monsieur Justin ETTY a eu des affaires par le passé, certaines ayant abouti d’autres pas ; pour ceux qui n’auraient pas abouti, on leur a recommandé vivement de porter plainte contre lui, afin de pouvoir avoir des charges contre lui, mais ils n’en ont rien fait. Car il n’y avait pas d’abus de confiance selon lui. A titre d’exemple, dans l’article de presse il est mentionné qu’un couple de boulangers aurait été abusé par lui, ce qui n’est pas vrai. Mais il leur a été demandé avec insistance de porter plainte contre lui. En somme toutes les personnes avec qui, Justin avait traité dans le passé dans le cadre de son activité professionnelle ou personnelle et qui étaient connues de son ex-femme ont été approchées et littéralement suppliées de trouver un élément pour déposer plainte contre lui.
Un certain Gaétan R., a qui Justin a ouvert les portes de la côte d’ivoire, pour qu’il puisse investir, est allé s’y installer sans lui, abusant ainsi, la confiance de Justin ETTY ?
Gaétan R., entendu, afin d’obtenir un élément à reprocher à Justin ETTY. Mais dans ce cas, c’est bien Justin qui aurait des choses à reprocher à Gaétan et non l’inverse. Géatan a témoigné dans le divorce du couple en apportant un témoignage calomnieux contre Justin, disant qu’il serait volage. Selon Justin ETTY : « C’est de la méchanceté gratuite venant de Géatan. Cependant j’ignore ce qu’Alexandra a bien pu lui dire, afin qu’il aille intervenir dans une histoire de divorce qui ne le concerne en rien et dans laquelle, il n’a rien à gagner, ni à perdre ».
Elle a affirmé et fait écrire par son expert-comptable Marc F. que j’avais des sociétés de pêche en Chine, ce qu’il a systématiquement reporté sans la moindre vérification et la transformant du coup en accusation disciplinaire contre moi au H3C (mentionné plus haut), à l’ordre des experts-comptables de Nouvelle-Calédonie et en dénonciation au procureur de la république. Encore une fois, après plusieurs longs mois d’enquêtes et d’interrogatoires, cela a abouti à un non-lieu. Le H3C et le Procureur de la République ont classé sans suite ces accusations, car Justin n’a jamais eu de société en Chine. Les faits étaient qu’il avait fait venir en Nouvelle-Calédonie des investisseurs réunionnais (français), pour qui, il a créé une entreprise de pêche.
Ils venaient d’acheter des bateaux en Chine et envisageaient de les faire venir en Calédonie. Son ex-épouse avait au détour d’une conversation appris une partie de l’affaire mais elle l’a totalement biaisé pour la transformer en accusation contre moi. Accusations encore une fois reprise, sans la moindre vérification par Marc F.
Tout ceci, pour vous donner le contexte dans lequel l’article précédent a été rédigé et ces accusations portées.
La procédure de divorce de Justin ETTY et Alexandre P. ouverte, depuis 2017, est encore en cours et nous ne serons pas surpris d’avoir des rebondissements dans cette affaire, qui semble être une sulfureuse affaire de vengeance matrimoniale.
Selon Justin ETTY, son ex-épouse qui est à son second divorce et à son 4ème enfant de 3 pères différents, était à sa troisième vie maritale avec lui. Elle a déjà mis le grappin sur un quatrième pigeon à qui elle s’est empressée de faire un enfant pour le tenir.
Elle veut par ses agissements en jetant l’opprobre sur lui et en mettant en doute sa probité, justifier son comportement marital et post-marital inqualifiable primo et expliqué ainsi qu’elle l’aurait quitté pas pour des questions pécuniaires, car les affaires n’étaient plus aussi florissantes que les premières années fastes en Nouvelle-Calédonie, mais pour d’autres raisons, qu’elles essaient de fabriquer de toute pièce maintenant.
Il rappelle que son ex épouse est même allée jusqu’à porter plainte contre lui pour violences conjugales. Lui qui n’a jamais levé la main sur une femme, pas même sur un homme d’ailleurs, et qui a une parfaite maîtrise de lui. Il est ceinture noire 5ème Dan de Karaté et totalement non-violent. Il sait comment calmer la violence dans l’œuf avant son éclosion. Dans cette tentative d’accusation pour violence conjugale, il loue encore la sobriété et l’expérience de policiers qui ont tout de suite décelé la supercherie dans l’accusation mensongère.
Alexandra P. ayant abandonné le domicile familial et les enfants en bas âge à l’époque (un an et demi et trois ans et demi), pour aller vivre chez son amant de l’époque et actuel conjoint, pendant plusieurs semaines, est consciente après coup de cette erreur dans le contexte du divorce fraichement entamé à l’époque, il fallait trouver des fautes à Justin, une accusation de violence conjugale venait ainsi à propos.
Pour revenir à la récente affaire, notons que Monsieur ETTY n’a pas reçu de convocation au procès ouvert contre lui l’an dernier, car ne résidant plus physiquement sur le territoire depuis deux ans. Le procureur et le juge auraient été mal informés par ses détracteurs qui leur ont affirmé que s’il n’était pas présent, c’est parce qu’il était en fuite…, et ont aussi débité toutes les informations calomnieuses affichées dans la presse, pour convaincre le juge et le procureur de charger au maximum Justin ETTY.
Dès qu’il a été informé du jugement rendu par défaut contre lui par voie de presse, il a aussitôt constitué un avocat et a fait annuler le précédent jugement pour avoir le droit d’apporter ses arguments devant le tribunal. Il s’est même présenté physiquement devant les juges démontrant ainsi qu’il n’est pas en fuite, et qu’il avait des arguments à faire valoir. Le précédent jugement a purement et simplement été cassé.
Monsieur Justin ETTY n’est ni en fuite, ni recherché par une quelconque police. Il n’a causé la débâcle d’aucune société, aucune plaine n’est portée contre lui pour de tels faits comme bassement avancé dans le précédent article.
Il essaie simplement de tourner la page d’un précédent mariage qui s’est mal terminé mais dans lequel il a eu la chance d’avoir deux beaux enfants, pour lesquels il se bât. Il demande une garde alternée avec son ex-épouse, mais cette dernière veut lui dénier ce droit et même aberration, elle souhaite faire changer les noms des enfants, qui très petits ne sont pas très conscients, de tout ce drame qui se déroule.
Elle se perd dans ses divagations judiciaires, la veille elle l’accuse d’avoir une fortune cachée à l’étranger et le fait condamner par le tribunal des affaires familiales, à lui payer une pension de compensatrice (pour elle) astronomique de 200.000 FCFP (1850€) par mois, affirmant aux juges qu’elle ne travaille pas, au prétexte que Justin aurait une fortune cachée à l’étranger. Il a été condamné sur cette base. Mais elle a menti aux juges pendant le procès et elle continue de mentir. Elle arpente fièrement Nouméa au volant de sa voiture de luxe et est grassement payée par une société d’assurance, bien établie de la place depuis 2017. Elle a pu le faire condamner à payer cette pension sur la base de déclarations mensongères, qu’il a du mal à faire lever malgré toutes les demandes en révision faites devant le JAF.
Après avoir tenté de mettre en banqueroute ses sociétés en incitant les collaborateurs à démissionner, en médisant auprès de ses clients et les incitant à porter plainte pour le moindre litige, en créant même où il n’y en a pas, elle continue de vouloir lui engager d’autres procédures, en prenant cette fois les enfants en otage psychologiquement.
Correspondance particulière de Babacar N’Diaye