Cette décision vient confirmer le jugement rendu en première instance par le tribunal de Kaloum daté du 6 mars 2024. Ce qui met ainsi un terme aux manœuvres sournoises orchestrées par certains acteurs malintentionnés et leurs complices de haut niveau, qui avaient tenté d’exproprier Tidiane Soumah et son entreprise, TWM.
L’affaire concerne la gestion du Centre Culturel Badala, un lieu chic et prisé, situé au cœur du quartier des affaires de Kaloum à Conakry. Après quatre années d’interruption de ses activités, le tribunal de Kaloum a rendu un jugement qui rétablit Tidiane Soumah dans ses droits. Toutefois, cette victoire n’est pas sans défis, car des tentatives persistantes ont été faites pour contrecarrer cette décision judiciaire légitime.
La détermination inébranlable de l’avocat Me Mountaga Kobélé Keïta, alliée à la clarté et à l’intégrité de la justice, ont finalement prévalu. Cette décision de la Cour d’Appel offre un nouvel espoir pour la renaissance de cet espace culturel vital. En effet, elle accorde à Tidiane Soumah un droit d’exploitation prolongé de dix ans, après une période de quatre ans d’arrêt des activités due à des procédures judiciaires.
C’est une véritable victoire pour la justice et la transparence. Lorsque les affaires sont menées dans le respect des droits de chacun, les malhonnêtes finissent par être vaincus. Cette issue favorable est non seulement une reconnaissance des droits de Tidiane Soumah, mais aussi un message fort sur l’importance de la justice dans la protection des intérêts légitimes.
A suivre !
Par Tidiane Diallo